Le blog de Stéphanie ...

UTPMA 22/06/2013 - 105km D+5600m


 

 

 

Je cherchais une course fin juin, de format 24h, pas trop loin de Toulouse, pour préparer l’UTMB. J’avais donc choisi l’UTPMA, dont j’avais entendu beaucoup de bien, en plus en Auvergne, ma région natale, donc mon choix était fait.

Depuis le marathon de Paris, j’avais complètement perdu la motivation pour courir, je n’ai donc pas fait une vraie prépa. Je comptais sur mes acquis du marathon, et sur les bienfaits des rando-course en montagne. Et visiblement, la méthode m’a bien réussi !

 

Sur cette course, je voulais tester deux choses :

- Manger souvent

- Ne pas prendre mes bâtons

Test 1 : j’ai réussi à manger entre les ravitos 15 pâtes de fruits, 2 gels et 3 barres. Et à chacun des 5 ravitos je prenais du pain, du fromage et une banane. Je mangeais toutes les 1/2h ou toutes les heures maxi. A chaque ravito, je prenais des pâtes de fruits et du pain que je gardais dans mon sac pour me permettre de rallier le ravito suivant. Le pain me servait à éponger le goût sucré que j’avais parfois en bouche. Très efficace ! Bilan : je n’ai pas eu de baisse de forme et je n’ai pas eu mal au ventre. Donc test réussi.

Test 2 : le parcours était assez roulant, les descentes et les passages plats étaient courables donc les bâtons m’auraient gênée. Dans les mains, ils me gênent, pour attraper des choses dans mon sac, pour manger … et dans le sac ils pèsent lourd. Donc ils auraient été une entrave. Là, j’ai trouvé deux bâtons en bois pour chacune des montées difficiles (Le Chavaroche, le Piquet et le Berganty n°2). Arrivée en haut, je les laissais par terre, et je me sentais libre. Donc test réussi.

 

J-1, arrivée à Aurillac vers 19h30, récupération des dossards, pasta-party et direction le camping pour planter la tente et dormir. Couchés à 22h, j’ai bien dormi.

 

Jour J : réveil à 3h40. Petit déj avec un sachet de biodéj Punch Power (aliment liquide qui passe bien à une heure aussi matinale !). Un peu léger quand même, seulement 230kcal, mais très digeste, et je me suis dit que je prendrai un gel assez vite pour compenser. On quitte le camping vers 4h25 sous une pluie fine, 2km à pied d’échauffement, on rentre dans le sas, on se faufile et on attend le départ. La pluie est tellement fine que je décide d’enlever ma veste, après tout il ne fait pas trop froid.

J'avais prévu de mettre 20h, ce qui me paraissait optimiste. J'avais estimé une vitesse de 3,7 km/h en montée et 9,5 km/h en descente, ce qui me paraissait rapide.

 

Le départ est donné, on n’est pas tout devant donc ça bouchonne un peu, surtout qu’ils nous font passer par des escaliers étroits. Je double dès que je peux mais ce n’est pas évident. Puis arrivent les chemins, la boue …

 

 

Il y a du brouillard, donc ce n’est pas évident de voir nettement avec les gouttelettes qui passent devant le faisceau de la frontale. Je double 2 filles, mais comme je ne suis pas partie devant, je ne sais pas où j’en suis dans le classement. Puis une autre fille. J'avais décidé de partir "vite". Je pars du principe que de toutes manières à un moment je serais naze, et je pense que c'est indépendant de ma vitesse de départ. Donc tant que je peux envoyer, j'envoie ! Et je ne le regrette pas. Je ne me souviens plus trop du parcours, je me souviens juste qu’entre le départ et le 1er ravito, c’était très roulant, avec des bosses, alternance de petites montées et petites descentes. Je mange un gel au bout d'1h de course, et je croque dans ma pâte d'amande au bout d'1h30. Le jour se lève, j’enlèverai ma frontale au ravito.

 

1er ravito – Velzic - 2h05 de course – 17,5km - D+750m

J'ai 1h15 d'avance sur mes prévisions. Ce qui est normal, vu que mon modèle ne prend pas en compte le paramètre "fatigue". Donc c'est aussi bien que je gagne du temps maintenant, je sais que j'aurais besoin de cette marge plus tard.

Deux filles sont au ravito, il faut que je les double donc je me dépêche. Je ne remplis pas ma poche. Je ne suis partie qu’avec un litre, mais je ne bois pas beaucoup. Il ne fait pas trop chaud, et je m’hydrate par la peau ! Je prends 4 pâtes de fruits que je mets dans mon sac. En plus elles sont emballées, c'est très pratique. Je tente de manger une compote mais sans cuillère j'abandonne vite. Je prends deux bouts de banane que je mange en marchant. Je repars juste derrière les filles, et je les double peu de temps après, au tout début de la montée du Berganty. Elles ont des bâtons, pas moi, peut-être que je vais être pénalisée. En fait la montée est roulante, pas trop pentue, avec même des passages plats courables. Donc les bâtons ne me manquent pas, ils m'auraient même gênée parce que je cours dès que je peux. On m'annonce 3ème féminine. Je croque ma pâte d'amande régulièrement. Je vois une fille devant, je vais essayer de m'accrocher. Et finalement je la double. Yes, 2ème :) Je me retourne régulièrement pour voir si elle s'accroche, et malheureusement oui, je n'arrive pas à la distancer. Finalement dans les parties en descente elle semble avoir du mal, et j'arrive à creuser l'écart. On passe devant un point d'eau, sûrement un ravito qui se monte pour le 21km, ou alors c'est peut-être notre ravito de la fin, on est peut-être à st Simon. (ça c'est ce que je me disais pendant la course, mais en fait non, on est au Berganty !) On continue de monter, avec alternances de descentes. On monte encore et on arrive à un sommet. Je demande aux bénévoles si on est en haut, ils me disent que oui. Je demande si on est au Berganty, ils me disent que non, qu'il est derrière. Sur le moment je n'ai pas compris, mais maintenant je réalise qu'on l'a déjà passé, là où il y avait l'eau. On est à l'Elancèze. Grande descente jusqu'à Mandailles, où je cours bien. Ca commence quand même à taper un peu dans les cuisses, elle est longue la descente.

 

2ème ravito - Mandailles -  9h54 de course - 36,5km - D+1900m

Super ambiance à ce ravito. Je suis acclamée, la 2ème féminine, bravo, allez, super ... il y a plein de monde, c'est énorme, ça me donne presque les larmes aux yeux. On dirait l'arrivée de l'écotrail sous la Tour Eiffel ! C'est magique, alors que ce n'est que le 2ème ravito et que rien n'est joué !

Je croise Aurélien et Sébastien, qui sont prêts à repartir. Ils me disent être cuits et que je vais vite les rattraper, mais en fait je ne les ai jamais rattrapés ! Ils sont même arrivés 1h avant moi !

J'ai encore gagné 1h sur cette portion, j'en suis à 2h15 d'avance, donc j'en suis à un temps estimé de 18h, donc arrivée à 23h.

Je remplis ma poche, j'ai prévu 4h30 d'ici le prochain ravito, même si je sais qu'il y a de l'eau au Puy Mary, je préfère ne pas avoir à re-remplir trop souvent. Et puis en montée ce n'est pas gênant 1kg en plus. Je prends 4 pâtes de fruits dans mon sac et du pain. Je repars avec du pain, du fromage et une banane que je mange en marchant.

Et c'est parti pour la montée au Chavaroche, qui paraît-il est difficile. Je repars avec une fille, elle sort d'où celle-là ? Je regarde, elle n'a pas de dossard, ouf ! Elle monte au Puy Mary pour accompagner des copines. On marche un peu ensemble, puis elle me laisse partir. Vu la difficulté annoncée de la montée, il faut que je me trouve des bâtons. Ca m'occupe un moment, à regarder à droite à gauche. Je finis par en trouver un, puis deux. C'est vrai que ça aide bien ! Et je monte comme ça, en mangeant régulièrement. Puis on arrive sur la partie découverte, on quitte la protection de la forêt et il se met à faire froid. On avait déjà le brouillard, mais maintenant il y a le vent. Je sors les manchettes, les gants et le buff. J'ai froid, mais j'espère que la descente à venir me réchauffera. Puis je vois un gros tas de cailloux, ça doit être le sommet. Je demande aux bénévoles qui me disent qu'on est au Chavaroche. Yes ! Finalement, il était moins pire que ce à quoi je m'attendais.

 

 

Et je laisse mes bâtons ici, vu qu'on va descendre, ils deviennent inutiles. Quelle liberté de ne plus les avoir ! Je me sens des ailes. Petite descente, avant de remonter pour le Puy Mary. Avant les fameuses marches, il y a un point d'eau. Et j'entends quelqu'un m'encourager par mon prénom. Surprenant, personne n'était sensé venir me voir, et les prénoms ne sont pas écrits sur les dossards. C'est Clarisse, ça fait super plaisir :) Et c'est parti pour les marches. Il fait froid, je me protège les mains en les collant contre moi. Vivement qu'on redescende ! Les marches sont hautes et irrégulières, c'est difficile. Puis on arrive enfin au sommet, mais avec le brouillard on ne voit rien. Dans la descente, on croise pas mal de randonneurs. Puis on monte à Peyre Arse, on redescend un peu, et on monte au Puy Griou, toujours dans la brume. Et descente jusqu'à Mandailles. Le début de la descente est technique, et petit à petit la descente se fait plus facile. Je ne me souviens plus trop où et quand ni dans quel ordre, mais on alterne les passages de boue-bouse où l'on s'enfonce, les champs défoncés, les cailloux ... A un moment, on passe dans la neige. 1er passage plat, ça va. 2ème passage très incliné, pas d'autre possibilité que de glisser sur les fesses. Sauf que c'est tellement raide qu'il est impossible de s'arrêter en bas de la neige, donc je continue sur les fesses dans un mélange de boue et de neige fondue. Hum... très agréable ! En plus j'avais mes gants, donc ils sont trempés donc inutilisables ... On passe aussi des passages très techniques limites dangereux je trouve, où il faut mettre les mains. L'arrivée sur Mandailles est longue. On voit des petits villages, à chaque fois je crois que c'est là, mais non. Et enfin on arrive, avec la même ovation qu'au 1er passage.

 

3ème ravito - Mandailles - 14h36 de course - 59,5km - D+3600m

Sur cette portion, j'ai été conforme à mes prévisions. Clarisse est là, elle me dit qu'Aurélien et Sébastien sont à 4mn devant. Qu'au Puy Mary, Gilles était 1/2h derrière, et que les filles sont entre Gilles et moi, donc potentiellement à 1/4h. Faut pas que je traîne trop. Je remplis ma poche,  assez pour ne pas devoir la remplir avant la fin. Et pareil, je fais le stock de pâtes de fruits et je mange du pain, du fromage et une banane en repartant.

Et c'est parti pour le Piquet, avec une corde au sommet, ça promet. Je me cherche des bâtons, j'ai trouve deux, mais je ne suis pas pleinement satisfaite. Et au bout d'un moment, je trouve un bâton de compét, on dirait un vrai bâton qui a été oublié, ou un piquet de clôture. Il est certes très lourd, mais au moins je peux m'appuyer dessus ! Et heureusement, parce que la montée est effectivement très raide. Ils ont tracé un chemin tout droit dans la pente ! Même avec les bâtons j'ai du mal. En plus on voit les autres coureurs devant, très haut, on voit ce qui nous attend ... Puis arrive la fameuse corde. Je me tire à la force des bras, et je m'aide avec les bâtons. Quand soudain, quelqu'un d'autre prend la corde en bas et tire dessus, ce qui tend la corde et me déstabilise ! A mon cri, le mec comprend et me laisse monter tranquillement. Et enfin le sommet, ouf ! Je laisse là mes bâtons et je continue en courant, libérée de mes entraves. Un bénévole me dit "eh c'est toi qui a gagné la Montagn'hard l'an dernier". Waouh ! Ca, ça fait super plaisir. Je ne sais pas d'où il me connait, s'il était là-bas, mais ça fait super plaisir d'être reconnue ! Longue descente sur St Cirgue, roulante. Je connais l'arrivée au ravito, le long de la Jordanne, on était passé là aussi à l'oxygène challenge. Très joli passage. On traverse le kiosque d'information, et le ravito est juste au-dessus.

 

4ème ravito - St Cirgue - 17h52 de course - 79km - D+4450m

Ovation également à l'arrivée. Un bénévole me dit "toujours aussi souriante et fraîche qu'à L'Elancèze". Ca fait super plaisir. Fraîche pas vraiment, mais cette ovation ne peut que donner le sourire :)

J'ai gagné 1/2h sur cette portion, j'ai maintenant 2h30 d'avance, donc je devrais pouvoir arriver à 22h30. Je ne remplis pas, et je fais comme aux autres ravitos. Maintenant, c'est tranquille. Il ne reste que la 2ème montée au Berganty, puis juste des petites bosses. Je prends un gel pour cette dernière montée. Je trouve à nouveau deux beaux bâtons que je laisse au sommet. Un photographe me dit "ah, voici la jolie jeune fille qu'on m'avait annoncée". Oh, ça fait trop plaisir. C'est fou comme des petites phrases comme ça donnent des ailes.

 

 

En haut, il y a un point d'eau, je bois juste un gobelet. Passage sur le plateau du Coyan, qu'on m'avait annoncé comme pénible, un champ à vaches défoncé, mais en fait ça va. Il y a juste plein de barrières à franchir, ça devient difficile de monter ces marches, et surtout de les descendre. Puis descente sur St Simon. L'arrivée au ravito est également très longue. Je vois un village, je me dis "c'est là", et puis non, je vois des flèches indiquant St Simon plus loin, donc ce n'est pas encore là. Et enfin j'y arrive.

 

5ème ravito - St Simon - 20h39 de course - 95km - D+5200m

Et là, surprise, sur le panneau indiquant les km restants, il est écrit 10,5km et D+339m. Alors que je croyais qu'il ne resterait que 8km. Dans ma tête, après St Simon il ne me resterait qu'1h, alors que là, visiblement c'est plutôt 1h30, c'est ce que m'annonce un bénévole. Je me dis qu'en 1h20 ça devrait le faire, quand même, 10,5km en 1h20 c'est jouable. Ce qui me ferait arriver à 22h.

Je ne remplis pas, et je repars avec du pain et du fromage. Pour faire passer, je bois dans ma poche à eau, 5mn après avoir quitté le ravito, et là, dernière gorgée ! Plus d'eau !!! Bon, il ne reste que 10km, même si je me déshydrate ça devrait passer quand même. Mais j'ai quand même super soif. Je demanderai de l'eau à d'autres coureurs. A un moment, j'entends de l'eau couler. Je vois un bac en pierre, avec des plantes aquatiques / algues, et de l'eau qui en coule, claire. Tant pis, je bois. Si je suis malade ça ne va pas non plus être immédiat. Et finalement je n'ai pas été malade. Une bosse, une deuxième, et enfin on voit Aurillac, et on entend la musique. Yes, on arrive. Mais c'est bizarre, les flèches tournent à l'opposé, c'est bizarre. On m'a dit qu'à la fin on faisait un détour, mais quand même, là ce n'est pas possible. Il est presque 22h, mathématiquement on doit arriver. Et bien non, on fait effectivement un grand détour pour aller au Puy Courny (ce que j'apprends après). La nuit tombe, mais on n'est pas dans la forêt donc pas besoin de la frontale. Je vois une lumière au loin, ce sont les mecs qui filment. Ils me filment, me demandent comment ça va. Je dis que j'en ai marre, que ça n'en finit pas. Je leur demande de l'eau, et ils m'en donnent. Ca fait du bien. Le problème c'est que comme je ne bois pas, je ne mange pas non plus, sinon je ne pourrais pas avaler. Je vois que je faiblis, parce que je me fais doubler par des mecs que je n'avais jamais vus de la course. Pourvu que les filles ne me rattrapent pas, ni personne de l'UASG ! En plus ça fait déjà un moment que j'ai mal à l'extérieur du pied, et que je n'arrive pas à tendre la jambe. Donc je pense que ça ralentit ma foulée, ce qui cumulé à la fatigue n'arrange rien. Enfin le sommet, et la dernière descente. Je suis quand même obligée de sortir la frontale, ils nous font repasser en sous-bois, avec un escalier en rondins de bois, et un passage de corde ! Un mec me rattrape et me dit que les filles sont loin. Ouf ! Puis c'est l'arrivée dans Aurillac, très sympa l'arrivée, un petit chemin le long d'une rivière, puis la dernière ligne droite. Ils ont mis des barrières tout le long de la rue avec de la rubalise, on a l'impression de finir l'UTMB ! Il y a plein de monde dans la rue qui m'acclame, c'est magique. Je cours au milieu de cette foule, des applaudissements, et on m'annonce "arrivée de la deuxième féminine" et les applaudissements redoublent, "allez, c'est super, bravo". Et je passe sous l'arche d'arrivée. Il est 22h25 finalement. J'ai mis 1h45 pour faire les 10 derniers km, j'ai bien ralenti ! Les organisateurs me félicitent, très chaleureux. La 1ère a 1h30 d'avance, donc aucun regret. Et là je vois Laurent arriver, juste 5mn derrière moi. Et les deux filles, à 5mn aussi ! Waouh, j'ai eu chaud !

 

Arrivée

Je récupère ma belle polaire finisher. Et je bois 1L d'eau ! Je n'ai pas spécialement faim. On attend le podium, et direction la douche et les kinés. Puis le repas d'après-course, où ils nous ont préparé une truffade. Je marche à 2 à l'heure, je n'ai jamais eu aussi mal partout. Et retour au camping. Il est déjà 3h du matin ! Impossible de dormir, j'ai trop mal au genou et aux muscles. Ce n'est pas cette nuit que je vais récupérer !

 

UTPMA podium.JPG

 

UTPMA podium 3.JPG

 

Bilan

J'ai couru tout le temps que j'ai pu, sauf dans les montées bien sûr. Je n'aurais pas pu faire mieux, j'étais vraiment à fond. Je n'ai rien lâché. Je ne me suis pas vraiment ennuyée, j'étais en mode compét, ne pas me faire rattraper ni par les filles, ni par un mec de l'UASG pour faire un podium club ! On se motive comme on peut !

Je suis très fatiguée, je n'ai pas le souvenir d'avoir eu si mal après une course depuis mon 1er écotrail. J'ai mal partout, même aux bras ! Et je me sens vidée complètement.

Super course, parcours quasi sans bitume, supers ravitos, très bonne ambiance, accueil très chaleureux. Dommage que le brouillard nous ait empêché de profiter du paysage, mais au moins on n'avait pas trop chaud ! A refaire et à conseiller.

 

Résultats

- 17h27

- 2ème féminine sur 32 inscrites (26 arrivantes)

- 53ème scrach sur 397 partants (288 arrivants)

 

 

Entraînement

- Janvier/mars: prépa marathon

- 7 avril: marathon de Paris

- Sur les 11 semaines précédant la course: 600km D+24 000m (rando et course), 640km vélo

 

semaine du 8 au 15 avril:

    - samedi/dimanche: WE rando, parcours de l'Alberatrail: 42km et D+3200m

semaine du 16 au 21 avril:

    - samedi: côtes: 4x1km (100m de D+) = 12km et D+450m

    - dimanche: VTT: 50km et D+1500m

semaine du 22 au 28 avril:

    - mardi: footing 7km

    - jeudi: footing 8km

    - samedi: footing 13km

    - dimanche: rando raquettes: 23km D+1600m

semaine du 29 avril au 5 mai:

    - du jeudi au dimanche: randos de 15km D+1000m (trek au Maroc)

semaine du 6 au 12 mai:

    - du lundi au samedi: randos de 15km D+1000m (trek au Maroc)

semaine du 13 au 20 mai:

    - mardi: VMA courte: 2x8x150m en 33"= 12km

    - jeudi: VMA longue: 4x1000m en 3'58 = 12km

    - samedi: SL vallonnée: 15km D+650m

    - dimanche: côtes: 5x2km 260m = 20km D+1300m

semaine du 21 au 28 mai:

    - lundi: footing 8km + vélo 1h15 (23km)

    - mardi: VMA courte: 10x200m en 43" = 10km

    - jeudi: VMA courte: 10x400m en 1'30 = 12km

    - samedi: rando 45km D+1400m

    - dimanche: rando-course 26km D+1700m

semaine du 29 mai au 2 juin:

    - lundi: vélo 85km

    - mardi: footing 9km

    - jeudi: VMA longue 3x2000 en 4'16/km

    - samedi: footing 14km + vélo 2h 41km

    - dimanche: rando-course 29km D+1700m

semaine du 3 au 9 juin:

    - jeudi: VMA courte: 2x8x200 en 43"

    - samedi: footing 6km

    - dimanche: Desperado Trail 32km D+1100m: 3h06 (1ère féminine)

semaine du 10 au 17 juin:

    - mardi: VMA courte: 6x300 - 6x200 - 6x100 (1'07 - 43" - 20") = 12km

    - mercredi: côtes: D+400m = 11km

    - jeudi: VMA longue: 3000-2000-1000 (4'20-4'15-4'10) = 12km

    - samedi: vélo 46km

    - dimanche: footing 12km

semaine du 18 au 23 juin:

    - mardi: VMA courte: 2x8x200m en 43" = 12km

    - mercredi: footing 8km

    - samedi: UTPMA

 

Et en moyenne chaque semaine 50km de vélo.

 

 

 



03/06/2013
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